Louis Marette, maire de Mazères, n’invite plus sa copine du TGI pour se frotter les médailles. Il en a trouvé une autre : la préfète de l’Ariège, Nathalie Marthien. On ne sait pas s’ils pratiquent ensemble le même sport, mais cette vénérable représentante de la République a l’air de se plaire en compagnie de notre collaborateur du Front National.
Cette fois, le prétexte fut une visite de l’usine de pétards et autres explosifs militaires que Mazères abrite en son sein presque comme un enfant perdu. Ledit orphelin se dit Lacroix, comme la Javel, mais Louis Marette y voit plutôt un signe venu d’en haut.
Cependant, avant de s’accroupir, Louis Marette se torche.
On appelle cela un penchant.
Et en effet, il n’est pas un seul de ses portraits médiatiques où on ne le voit pencher d’un côté ou de l’autre, selon un principe d’attraction auquel il est resté fidèle toute sa vie.
C’est évidemment là une qualité remarquable qu’il met à profit pour en avoir plus que les autres.
Mais non content de satisfaire ses besoins, Louis Marette sait aussi se rendre utile.
On le retrouve dans un cinéma municipal d’un genre ancien.
C’est là qu’il place, en bonne placeuse.
Sans oublier de demander la pièce, bien sûr, car l’homme est fidèle à lui-même en toutes circonstances.
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