Louis Marette cul à cul avec Philippe Calléja (en tout honneur)

 

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Jean-Philippe Cros, qui signe ses articles dans la Dépêche comme un pigiste (des initiales !), pratique l’ironie avec une prudence certaine, certes, mais le coup de griffette de ce chat qui pelote ne doit pas manquer de laisser des traces.

Dans un article nous annonçant que les maisons de retraite de Mazères et de Saverdun se préparent à une fusion ne touchant pour l’instant qu’à la gestion des tâches (le reste viendra en son temps), il n’est question que de « mariage », de « bénédiction », d’ « air du temps » et même d’un encouragement socialiste de la « démarche ».

Répondant, comme d’habitude, à la politique départementale au doigt et à l’œil, les deux yoyos de la droite ariégeoise, pris au piège du pouvoir, ménagent prudemment, et servilement, leurs adversaires politiques. Rampant à même le sol, il leur fallait dresser quelque chose. Ce fut leurs têtes. Et l’Agence régionale de santé, qui n’était pas là pour répondre, a fait l’objet de leurs critiques infondées et même profondément idiotes.

Les temps qui viennent vont connaître beaucoup d’ajustements sur le plan de la gestion de la chose publique. Normal : il y a eu des abus.

Mais attention : les marettes et autres zombies de l’ancien régime savent y faire. Ils collaborent, certes, et vont même (tant mieux pour nous !) jusqu’à voter socialiste si leur place est en jeu. Mais ils sont suffisamment sectaires (gardons la solidarité pour nos propres ambitions) pour détourner les fonds mêmes de l’investissement national.

C’est fou ce qu’on peut perdre comme temps à cause de ces parasites que nous ne qualifierons pas d’ « indésirables » pour ne pas jouer leur jeu.

La gestion du social devrait être simple comme un bonjour. Hélas, il faut en passer par les complications ourdies par ces oiseaux d’un autre domaine : celui où le vol se passe d’ailes mais pas de poussée.

Patrick Cintas.

 

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