Comme le correspondant mazèrien de la Dépêche du Midi nous le donne à voir, Jean-Louis Bousquet a changé de pull.
Mais il a conservé sa casquette.
L’information est d’une importance capitale pour les animaux de la République.
Mais ce qui compte dans cet article, c’est l’hypertexte. Le voici :
Souvenons-nous que Jean-Louis Bousquet, dans un précédent article du même quotidien, déclarait haut et fort être moins con que les autres parce qu’il ne faisait aucun lien entre l’amour que les animaux lui inspirent et le désir de les tuer qui ravage ses relations animales.
Cette fois, ce sont les indésirables… euh… les nuisibles qui vont être reproduits, mais pas à l’identique, si toutefois l’article du correspondant de la Dépêche est écrit dans la langue de Molière (On se demande où ils ont été le dé-pêcher celui-là).
Les propriétaires de chiens sont menacés de graves sanctions si leurs animaux, qu’ils aiment moins connement que ceux que Jean-Louis Bousquet tue en les aimant, se mettent à chasser à la place des chasseurs qui ne sont pas des chiens selon les valeurs républicaines, mais ont le droit et l’honneur de l’être s’ils ont envie d’aboyer selon leurs règles au détriment de la liberté des autres.
Mazères se doit d’être un exemple en matière de connerie municipale… à moins que la responsabilité de cette connerie ne doive être attribuée à un zombie de la correspondance municipale inspirée par un certain Louis Marette dont nous aurons l’occasion de parler, car lui aussi fait chanter les petits oiseaux qu’il aime beaucoup et qu’il tue avec la même passion de la vie sexuelle, une bouteille dans la main, soigneusement lubrifiée, et un système grossissant dans l’autre (du genre loupe).
Tout un programme. Que la jeunesse se le dise !
La technologie et la pharmacopée sont au service des oiseaux, surtout s’ils sont petits. Pour ceux qui battent de l’aile, lisez la Dépêche de Mazères : Érection garantie.
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