Louis Marette n’a pas tout dit… mon salaud !

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Ouf !

Certes, Pascal Lecerf a réussi à gagner des voix sur Louis Marette. Une opposition est née, ce dont le maire de Mazères n’a peut-être pas tout à fait conscience. Son orgueil bien connu le travaille toujours.

La nouveauté, c’est que les Mazériens vont avoir une source d’information fiable. Nous ne serons plus contraints et forcés de nous satisfaire de la parole de Louis Marette qui a montré pendant cette campagne que le moteur de son action est alimenté par le mouchardage, le mépris et la lâcheté.

Reste à savoir quels seront les moyens mis en œuvre par Pascal Lecerf, ses amis et ses électeurs, pour construire une opposition intelligente capable de faire plier Louis Marette dans le sens de la modernité qui manque tant à notre quotidien.

C’est en fonction de cette nouvelle activité d’information et d’action que va aussi évoluer MCM.
Car si cette activité est de qualité, si elle est sincère, présente sur le terrain et disponible sans préjugés ni table rase, le côté satirique de MCM peut disparaître et alors MCM sera un moyen d’information et d’analyse digne de ce que Pascal Lecerf aura su faire naître à Mazères.

Mazères a besoin de nouveauté.

MCM est à l’écoute et répondra à toutes les invitations à s’informer aux meilleures sources.
Et sa réponse sera alors à la hauteur, non plus de la cochonnerie de Louis Marette, qui ne mérite que le ridicule satirique, mais des idées nouvelles et sensées que le débat d’opposition saura engager avec tous les Mazériens.

Ainsi se termine le premier acte de MCM, le premier mouvement d’opposition autonome et indépendant né à Mazères contre Louis Marette.

Nous nous plaçons donc dans l’attente, etc. etc.

Votez Louis Marette – Laissez-vous faire !

 

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La veille du 6 juin, le général Eisenhower a rédigé deux messages dont un seul serait diffusé le lendemain :

« Sous le commandement suprême du général Eisenhower, les forces navales alliées, soutenues par de puissantes forces aériennes, ont commencé ce matin à débarquer des armées alliées sur la côte nord de la France. »

« Notre tentative de débarquement dans la région Cherbourg-Le havre ayant échoué, j’ai ordonné le repli des troupes. Ma décision d’attaquer à cette date et en ce lieu, reposait sur les meilleurs renseignements possibles. Les hommes, les forces aériennes et la Marine ont fait preuve d’une bravoure et d’un sens du devoir remarquables. Si une faute a été commise, et si quelqu’un doit en être blâmé, c’est moi et moi seul. »

À la veille de ces élections historiques, et compte tenu de leur caractère éminemment démocratique et nouveau, MCM a aussi rédigé deux messages, car qui peut être certain que la technologie d’un Christie est supérieure à ces gros culs de Panzers et autres Tigres ?

Si donc Pascal Lecerf gagne, ayant réussi à vaincre le mépris, les pratiques illicites et les menaces de mort en imposant la pertinence de ses analyses et la cohérence de son projet, le message de MCM sera impersonnel et laconique :

« Louis Marette a perdu. MCM perd aussi en le perdant. Aurons-nous désormais l’inspiration pour rire de cet oiseau domanial réduit à la portion de simple conseiller ? Non, nous ne l’aurons pas. Et nous disparaissons comme nous sommes venus : par la toile. »

Et si Louis Marette l’emporte, au mépris de notre futur et de celui de nos enfants, rouvrant les portes de la brutalité, du dénigrement et des offices du tourisme préférentiel, notre cri sera personnel et interminable :

« Louis Marette sera là demain pour alimenter notre métier. Ouf ! On l’a échappé belle ! Encore un peu et Mazères nous enlevait le pain de la bouche. Ce n’est pas qu’on s’en nourrisse, mais on s’y était habitué, nous ! Ah quelle preuve de bravoure et quel sens du devoir remarquables ! MCM en reprend pour six ans ! Six ans de bonheur ! En espérant qu’il crève en cours de route, le Marette. Ça nous en fera, des choses, à raconter à nos petits enfants… nés ailleurs. »

Car tous ces oiseaux arrivés vite s’en iront en même temps… et on sera moins alors pour se compter. Telle est la règle démographique dont personne n’a encore parlé… Bref, votez Lecerf si vous voulez la contredire, mais songez un peu à MCM qui n’est rien sans Marette.

Mais il est temps pour la Presse locale de se tenir à l’écart et de ne l’ouvrir qu’une fois que les urnes auront parlé. En attendant, l’article ci-dessous vous propose de jeter un œil sur

[LA SAGA DE LOUIS MARETTE]

 

La Saga de Louis Marette – histoire de politique, de justice et de cul… pour ne rien dire du reste

 

Il en aura fait couler, de l’encre, le Marette!

Et ce n’est pas fini…

…qu’il soit réélu ou pas.

La Saga de Louis Marette est à la disposition des lecteurs qui aiment rire sans en devenir bêtes (ça arrive…).

SAGA DE LOUIS MARETTE

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Blog mazeres09.wordpress.com

Journal satirique de Mazères
le premier et pas le dernier

MAZÈRES CONTRE MARETTE

Ce journal est alimenté régulièrement en fonction de l’actualité diffusée par les soins de Louis Marette dans la Presse locale. C’en est en quelque sorte la critique amusée.

Une version PDF est disponible et mise à jour tout aussi régulièrement.

560 grandes pages de grosses blagues, de montages photo vaseux et de réflexions non moins sagaces et utiles.

Le premier tome s’achèvera donc avec la victoire ou la défaite de Louis Marette…

[Télécharger le PDF…]

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LES HUNIERS

roman
avec Louis Marette et son maître
et quelques autres bizarreries des usages locaux
en matière de justice et de politique
…et de cul

Une version complète est en ligne sur le site de la RAL,M. Lecture gratuite bien sûr. 450 pages environ.

Les versions ebooks sont en préparation ainsi qu’une version papier.

[Lire – Texte intégral…]

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MAZETTE ET CANTGETNO

Opérette – Tétralogie

12 heures de spectacle comique et musical
Sur la Scène Mazérienne

Les aventures et mésaventures de Marette et de Trigano qui ne sont pas en leur pays.

La version intégrale en 20 actes est en ligne sur le site de la RAL,M.

Les versions epub et kindle sont disponibles chez [FNAC-Kobo] et [Amazon].

Les versions ebooks sont en préparation ainsi qu’une version papier.

[Lire – Texte intégral…]

VOTEZ POUR

SAGA DE LOUIS MARETTE

 

Avec Louis Marette, Mazères s’éloigne et nous on reste

 


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Un peu poussive, l’équipée Marette, dans ses réponses aux critiques documentées de son adversaire.

La plus significative de l’état de déliquescence de Louis Marette et de ses amis, c’est sans doute l’intervention de Jean-Louis Bousquet en défenseur du côté champêtre de son cerveau.

En voilà un qui profite bien de la retraite ! Le tour étant pour lui joué, et comme il n’a pas envie de se la fouler à imaginer le futur de Mazères, il se met au présent, histoire de bien s’amuser avec son fusil et ses reliques d’un temps passé posé comme modèle de ce qu’il faut faire et un point c’est tout.

Ce petit animal pas trop usé par sa marche décontractée dans les couloirs de l’enseignement veut nous faire croire qu’avant, c’était mieux. La campagne, les saints travaux des champs qui font du bien aux poumons, les petits oiseaux qu’il aime beaucoup et qu’il tue par plaisir, les petits enfants aussi avec lesquels il se conduit comme un curé, la douce existence avec à la fenêtre le blé qui pousse et qui repousse, les machines de l’ancien temps qui pètent bon quand on sait s’en servir, etc.

Ce dilettante aux doigts de rose vient de se lever. Il paraît qu’on se lève tard dans l’enseignement. Et du coup, on n’a pas envie de se coucher. La vie est belle. Je ne dis pas ça pour tout le monde, mais des enseignants qui enseignent ou qui ont enseigné, j’en connais, et pas des fainéants qui vont à la chasse juste pour s’amuser et tromper le temps et ses habitants.

Seulement voilà, ce petit malin qui ne pense qu’à lui et à ses plaisirs ne s’est pas fait mal au cul sur les machines qu’il collectionne avec l’argent public. On ne l’a pas beaucoup vu se lever tôt pour trouver de quoi bouffer avant midi.

Que voulez-vous… il est à la retraite. Il y a même toujours été. Et il s’y est habitué. Alors maintenant qu’il s’agit de travailler pour faire de Mazères une ville d’aujourd’hui et de demain, il tire au flanc, le pioupiou, et Louis Marette lui en donne les moyens, parce que le Marette, tout con qu’il est, il en profite bien aussi, té ! Et pas que des oiselles de passage. Il aime aussi les oiseaux, à ce qu’on dit. Et il laisse dire, hé !

Le Domaine des oiseaux, on ne peut pas dire qu’il est tourné vers l’avenir.

Vous me direz : Et le camping ?

Une connerie de Trigano. Il coute cher. Franchement, il faut être con pour faire un camping dans une ville qui n’est pas touristique. Bien sûr, Louis Marette VEUT qu’elle soit touristique, mais elle ne l’est pas. Et comment le serait-elle ? Qui viendrait faire un tour par ici ? Pour voir quoi ? Le Domaine des oiseaux ? En plein été ? Que tous les oiseaux ont foutu le camp et qu’il ne reste plus que la merde pour marcher dedans ?

Ah ! Il y a le musée. On imagine très bien des touristes se déplaçant à grand frais pour voir des petits cailloux et des vieilles pièces de monnaie. On voit ça partout. Mais ailleurs, en plus des pièces et des cailloux, ils ont la mer, des hôtels, une gastronomie, des spectacles, et même des paysans qui s’y connaissent en produits du terroir.

Il a raison, Lecerf, de critiquer tout ça sans prendre de gants. C’est qu’il s’y connaît en construction, en norme, et dans toutes ces choses qui font que le métier de maire, et même de conseiller municipal, c’est un métier et pas une sinécure pour retraités qui n’ont pas foutu grand-chose et qui maintenant veulent s’amuser avec l’argent public et notre consentement.

Et vous avez vu le chalet ? Le vieux Sérié ne veut plus habiter dedans. Une ruine. Et Louis Marette l’a payé cher avec l’argent public. D’ailleurs, chaque fois qu’il paye cher, c’est avec l’argent des autres. Autrement, il ne paye pas.

Mais c’est qu’il ne faut pas trop critiquer à Mazères. Sinon une armée de chasseurs se rapplique pour te faire la leçon. Ce sont des hommes modernes, intelligents et pas cons. Intelligents parce qu’ils profitent bien de la retraite et pas cons parce que tout ça est payé avec notre argent. Modernes, on ne sait pas pourquoi et il vaut peut-être mieux ne pas se le demander. On irait trop loin… Et ce sont des éducateurs nés.  Comme Bousquet qui te prend un enfant par la main, comme font les curés qui ont une idée dans la tête, et qui lui explique comment on peut aimer les oiseaux et ensuite les tuer. Exactement comme les curés. Mais lui, il ne va pas en prison. Il reste à la retraite. Il faut le faire, hein ?

Mazères vieillit mal. Peut-être parce que nos vieux sont parqués juste à côté de Sannac qui fait le commerce des morts. C’est moins fragile, comme entreprise, et surtout plus facile à gérer, que ce con de Fontes qui se fait chier toute l’année à cuisiner des cochons que si tu les aimes pas, c’est que tu n’as rien compris au plaisir. Et ouais ! Il y a des Mazériens qui bossent. Il n’y a pas que des dilettantes à Mazères. On peut très bien faire du saucisson et travailler, tandis que Bousquet et Marette, ils s’amusent sans rien faire. Et en plus, ils voudraient qu’on les élise pour qu’ils puissent recommencer pendant six ans encore. Intelligents et pas cons.

Et pendant ce temps, Mazères vieillit mal. Et ce qui est bizarre, c’est que Mazères vieillit avec de plus en plus de jeunes. Ça va en faire des trous quand ça va partir ! Et pas que dans le cœur. Mais Marette et Bousquet, les trous, c’est leur spécialité. Les trous du cul, passons. Sinon la diane du TGI va se rappliquer avec les chasseurs. Elle a aussi quelques trous à boucher, mais uniquement dans le domaine de la culture, ce qui ne nous regarde pas. Après tout, elle en fait ce qu’elle veut de sa culture et de ses trous. Si c’est avec Marette qu’elle échange, elle comprendra vite qu’elle n’a pas ouvert le bon livre pour comprendre l’homme.

Avec Marette, on est mal barré. Le chômage augmente, Mazères s’appauvrit, mais pas seulement : Mazères s’éloigne.

Avec Marette, on devient vieux. Mais de ces vieux qui aiment les petits jeunes qui font de la course à pied et qui jouent au ballon en culotte courte, comme du temps des curés. Et les autres jeunes, ils foutent le camp. Et nous, on reste.

Alors avec quoi on va rester si Marette nous fait chier encore pendant six ans ?

On va rester avec le Domaine des oiseaux qui n’intéresse pas tout le monde, un camping qui prend l’eau, un chalet qui attirera peut-être les curés désœuvrés. On aura même le temps d’enterrer Marette en grande pompe et on amènera de quoi pomper. Bousquet ne s’arrangera pas et il en voudra plus sinon il menacera d’aller plus loin, et avec ce genre de nature, on ne sait jamais jusqu’où. Et on finira chez Sannac qui nous offrira un bouquet si on en prend deux. Pour le saucisson de Fontes, on aura la photo.

Il est peut-être temps de réfléchir. Ou de foutre le camp avec la prochaine vague de jeunes. On est déjà en 14. Ça avance vite les siècles. Et en Ariège, on n’a plus rien à se faire voler. À part l’argent public et le gravier, mais on ne va pas s’habiller long et blanc et se couvrir le visage de charbon pour le sauver des mains de ceux qui y tiennent. Hé non…

 

Avec Louis Marette, Mazères est la ville du dilettantisme, du chômage et de la pauvreté en route

 

Patrick CINTAS

Patrick CINTAS
©jcc-communication

Selon les chiffres officiels (Insee, gouvernement…), Mazères est une petite ville relativement pauvre qui atteint à peine les 80% du revenu fiscal de référence et dont le taux de chômage est très au-dessus de la moyenne nationale (plus de trois points, 25% de plus que le taux national).

Or, Mazères s’est équipée d’installations couteuses qui ont au moins deux défauts :

1) Elles ne sont pas modernes et même plutôt désuètes, voire risibles.

2) Elles ne rapportent rien, ni en termes économiques, ni en termes culturels.

De ces deux défauts majeurs, on tire la conclusion que ceux qui en ont décidé la construction ou l’élaboration manquent de deux qualités au moins :

1) Ils sont retardataires, incompétents, et en cela, dangereux pour l’économie et la culture.

2) L’argent qui aurait été utile ailleurs a été dépensé inutilement par des inconscients ou des abuseurs quelquefois même.

On peut donc constater que Mazères s’est équipée de deux handicaps :

1) Le manque de cohésion avec le monde d’aujourd’hui.

2) La pratique de la dette au lieu de la rentabilité ou au moins du point mort.

Caractéristiques des dilettantes et, comme un train peut en cacher un autre, brèches ouvertes aux profiteurs.

Cette situation peut d’ailleurs perdurer sans affecter le confort acquis par une partie des habitants (majoritaires ?), mais il ne sera alors question que de cela, et pas de ce que les autres habitants exprimeront soit en donnant tous les signes et les conséquences de leur désespoir, soit en émigrant et en emportant à la fois leur chagrin et leur savoir-faire.

Autrement dit, le rassemblement voulu peut-être sincèrement par Louis Marette ne peut pas avoir lieu si nous le laissons continuer de pourrir nos jardins au nom de quelques principes qui condamnent la modernité et le monde où elle pourrait cultiver ses fruits.

Louis Marette n’est pas populaire, loin de là. Élu, si on peut dire, parmi les derniers de sa liste il y a six ans, il bénéficiera cette fois des nouvelles règles de scrutin et il nous sera impossible de mesurer sa véritable popularité, laquelle ne dépassait qu’à peine, en 2008, les 50% des inscrits votant pour une liste unique.

Nous n’avons donc pas affaire, comme il voudrait nous le faire croire, à un personnage issu de la volonté et de l’effort collectif. L’usurpation est bien sûr un mot trop fort pour avoir un sens utile. On se contentera pour l’instant de parler de cannibalisme, comme on parle de vampirisme en psychologie.

La Droite ariégeoise, sous la houlette du très vieux Trigano (au grand dam du petit cochon Louis Marette), a perdu toute velléité de discours. Elle compte donc sur la querelle Foix-Pamiers pour animer son propre débat. Et d’évoquer une révolte et même une indépendance qui ne sied évidemment pas aux entrepreneurs qui profitent le mieux de la situation et à tous ceux qui servent leurs résolutions sans trop se poser de questions.

Louis Marette tente le grand écart. « Un pied sur la rive gauche, l’autre sur la rive droite, comme disait Prévert, et le troisième au cul des imbéciles. »

L’imbécillité, contrairement à ce que me confiait un lecteur, n’est pas ordinairement collée à la jeunesse, mais à ses pères. Or, Mazères est une ville jeune, comme le sont d’ailleurs toutes les villes pauvres.

De cette jeunesse, Louis Marette pense rêver mieux que les autres, ceux qui ne sont pas d’accord avec lui, qu’elle a pour destin le sport, l’emploi subalterne, pour ne pas dire pire, et les activités militaires. Et de s’échiner pour que le rêve devienne une réalité.

Or, la jeunesse française, si elle aime le sport et ne voit pas vraiment d’inconvénient à chanter en chœur, a d’autres rêves qui ne sont rien moins que les rêves de toute la jeunesse du Monde.

La logique et l’intelligence, qui vont si bien ensemble, demandent les installations où ces rêves pourraient, avec un peu de chance et beaucoup de travail, devenir réalité.

Mais de quoi peut-on rêver dans un camping, dans un Domaine des oiseaux, à bord d’une faucheuse ancienne, au fil de l’eau ou sur les sentiers de la gloire, battant la paille pour le spectacle, à l’intérieur d’un gymnase ou dans un collège pas exactement conçu pour rêver… si on n’est pas un dilettante ?

Il manque donc à Mazères les structures du rêve, celles qui servent de tremplin à une existence dans le monde du XXIe siècle, et non pas dans les choix arriérés et ridicules de Louis Marette et de ses basques.

Or, en est-il seulement question ?

Pas le moins du monde.

Si j’ai bien lu et bien compris, les deux candidats en lice se battent sur le même terrain.

À mon avis, ça ne va pas aller loin, tout ça.

On va revenir, pour peu qu’on s’engage derrière ces mentors, sur les mêmes lieux, avec les mêmes difficultés à appartenir au monde d’aujourd’hui, s’enfonçant dans les dettes contractées pour acquérir de l’inutile, du désuet et du lamentable.

La pédanterie et la saloperie, qui hantèrent Jean-Paul Sartre, devraient pourtant nous inciter, sinon nous conduire, à prononcer sur nous-mêmes des jugements sagement équilibrés. Mais au lieu de ça, il nous faut, à Mazères, assister au spectacle d’un combat pour rien, pour la gloire, pour la domesticité qui va avec, et pour satisfaire les goûts douteux des moins capables d’exister aujourd’hui, qui sont aussi les plus féroces quand il s’agit de défendre des avantages acquis au prix fort de l’humiliation et du déclin cognitif.

Et pourtant, si l’on fait le choix de rayer Marette ou mieux de voter Lecerf, on tente au moins de changer la donne et d’entrer en vrai relation avec la jeunesse. Avec quelques bémols, il est vrai, mais Pascal Lecerf nous promet qu’il ne se comportera pas comme Louis Marette et qu’il saura installer à l’hôtel de ville une convivialité ouvrant même les portes les mieux fermées.

Pour conforter ce choix quelque peu hésitant, il suffit de comparer les deux pages internet que les candidats se sont employés à remplir de leurs propositions et même d’arguments ad hominem dont Louis Marette s’est fait le champion, fidèle en cela à lui-même.

Côté Marette, la page s’est emplie d’interprétations plus ou moins mensongères de son bilan, mais surtout d’injures, de dénigrement et de traces d’une méchanceté bien connue des Mazériens qui ont eu à l’essuyer. Puis, après une intervention salutaire, et un peu naïve, de Jean-Louis Bousquet, Louis Marette a conclu sa page par un discours aussi peu construit que sincère. L’ensemble forme un galimatias qui témoigne du manque d’expérience en matière de débat démocratique et de l’hypocrisie, que Sartre nomme saloperie pour ne pas donner raison à saint Augustin, qui traverse cette profession de foi complètement ratée. Dans cette liste approximative, on ne sait plus qui est qui et qui fait quoi ; ça sent l’improvisation et la défection.

Côté Lecerf, le discours est solidement construit. Il a été mûrement réfléchi et donc d’autant plus facile à construire. Il faut dire que Louis Marette, enfin soumis aux règles démocratiques, n’avait pas prévu d’avoir à s’expliquer clairement. Le projet Lecerf s’inscrit dans ce qu’on attend d’une équipe municipale soucieuse d’abord du bien-être des habitants ici appelés citoyens pour rappeler que nous sommes aussi français. Les bonnes intentions ne font pas le beurre, bien sûr, mais la promesse s’emploie à tenir compte de la réalité et nous n’avons pas l’impression de donner notre voix à des charlatans, mais bien plutôt à des citoyens authentiquement impliqués.

Il y a de l’espoir. Les jeunes, notamment, ne seront pas parqués comme des moutons au son du clairon et du sifflet. D’ailleurs, si la porte ne leur est pas ouverte, ils s’en iront…

Pascal Lecerf a ses chances. D’une part parce que son profil est tout de même plus engageant que l’image usée et passablement polluée que Louis Marette confirme dans les termes de sa campagne. D’autant plus de chances que Louis Marette n’est pas populaire, comme le prouvent les résultats des élections de 2008 où il n’arrive qu’en 18ème position :

1. Christian ESTRADE
2. Robert COTTAVE CLAUDET
3. J.Louis TURCO
4. Géraldine PONS
5. Philippe CUJIVES
6. Charles SERIE
7. Jacques PUJOL
8. Isabelle RAYNIER
9. Pierre PORTES
10. Paul MULLER
11. Daniel ZAMBONI
12. Gaston DEJEAN
13. Marguerite EYCHENNE
14. Josette GOURMANDIN
15. Josiane ZANIN
16. Jeanne DESAINT
17. Marie-Bernadette CHAMPEAUX
18. Louis MARETTE
19. Marcel FONTA
20. Joël DRAELANTS
21. J.Louis BOUSQUET
22. J.Maurice DARDIER
23. Christiane BERBON

 

Alors, rayer Marette ou voter Lecerf ?

Rayer Marette annulera le bulletin. À quoi bon ? Ce simple geste dont nous prive une entorse aux principes démocratiques ne sera pas même comptabilisé pour donner la mesure du rejet de Louis Marette au moins dans les marges de cette élection.

Voter Lecerf, c’est sans risque relativement aux décisions qui de toute façon se prennent au moins au niveau du Conseil général. Et c’est aussi ramener le projet municipal à sa véritable dimension, sans les appropriations abusives dont Louis Marette se rend constamment coupable. Et ce serait, si Pascal Lecerf est sincère car nous ne doutons pas qu’il soit compétent, ouvrir de nouveaux horizons dans la très claire intention de retrouver le bon esprit de Mazères dans l’état où Louis Marette l’a trouvé il y a 18 ans.

Patrick Cintas

 

Augustin Bonrepaux ou André Trigano – Faut-il choisir maintenant ?

 


Patrick CINTAS

Patrick CINTAS
©jcc-communication

Au-delà des considérations inspirées par le rapport entre le discours politique et les observations du terrain existentiel, d’où nous tirons nos conclusions sur la personne « candidate », il y a le système et ses contraintes. Celles-ci ne sont pas connues de tous. Nous ne sommes pas tous capables de les comprendre. Et nous ne sommes même pas certains que ceux qui agissent à notre place les comprennent mieux que nous.

Un des aspects les plus visibles, et partant les plus à la portée de nos critiques, pour s’en tenir à notre terre, c’est la question, ici même, de la vallée de l’Ariège et des deux projets qui s’opposent à tel point qu’on peut se demander si une négociation est encore possible.

D’un côté, Augustin Bonrepaux séduit plutôt en projetant une vallée unie dans une même structure politique et économique. Cette idée, sans doute complexe, paraît tellement évidente qu’on ne trouve pas d’arguments pour s’y opposer ou pour au moins en discuter les faiblesses.

Et de l’autre, au lieu de nous livrer une analyse technique, on fait de la politique en évoquant une « révolte » et une « indépendance » pour pallier le manque d’un véritable projet d’avenir. Tout l’intérêt de cette opposition semble résider ailleurs que dans l’utilité sociale et culturelle qui forme tout de même le seul lien existentiel, en dehors de toutes considérations mercantiles, fort en usage sous l’influence d’André Trigano, et entrepreneuriales comme garantie d’un digne revenu moyen, signe de confort ou au moins de promesse.

C’est un débat en effet. Nous en attendons beaucoup, bien entendu.

Mais cette question certes épineuse et grave a-t-elle sa place dans la campagne municipale entreprise pour la première fois depuis fort longtemps à Mazères par le simple fait d’une autre liste que celle qui n’a jamais fait l’objet que d’une signature, et non pas d’un véritable vote ?

Je ne le crois pas.

Louis Marette mange en ce moment à tous les râteliers.

Est-ce un défaut ?

Compte-t-il nous embarquer dans la goélette Trigano et compagnie ?

Quels services rend-il effectivement au 4×4 Bonrepaux ?

Nous savons bien que cela ne dépend pas de lui. Il fera ce qu’on lui dira de faire, point. Et en cela, il fera ce qu’il faut faire.

Ce n’est donc pas ce que lui reproche une bonne part (nous verrons laquelle) des Mazériens (avec accent aigu pour ceux qui ont l’accent du pays).

On ne peut-être qu’interpellé, comme on dit aujourd’hui, par les agressions dont Pascal Lecerf est la victime. Redoute-t-on qu’il ait trouvé le moyen de faire des difficultés autant au projet Bonrepaux qu’à l’entreprise Trigano ?

Doit-il répondre impérativement à cette question pour avoir le droit de s’immiscer dans la campagne électorale ? Espérons que non !

Nous autres Mazériens n’avons d’autre projet que de vivre le mieux possible dans notre petite ville. Et nous constatons qu’au-delà des nécessaires contraintes imposées par le système et les conditions dictées par l’économie, Louis Marette ne laisse pas de place tout simplement à la vie.

En imposant ses points de vue au lieu de les partager le mieux qu’il est possible de le faire en temps de crise et de changement, il nous prive de ce que nous avons de plus précieux qu’un Domaine des oiseaux ou qu’un complexe sportif : le plaisir de vivre chacun à sa mesure et selon son gré.

Louis Marette est un doctrinaire, ou plutôt un exécutant de la doctrine dominante ou des doctrines qui naissent de cette domination.

La question est donc de savoir, et vite car le temps presse, si Pascal Lecerf peut le remplacer à notre avantage exclusif.

 

Rendez-vous pour la deuxième réunion publique d’Union-Renouveau-Citoyen le 14 mars 2014 – Salle de cinéma de Mazères à 20h30.

Patrick Cintas.

 

Rayez Louis Marette

 


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On a entendu ce dialogue à la mairie de Mazères :

« Tu fais chier, Marette ! Avec tes conneries, on passe pour des cons ! Maintenant, tu consultes ! Et on discute !

— Mais putain, je sais pas… On a jamais fait de campagne… On a pas l’habitude… C’est ce con de Lecerf qui fout sa merde… Il est pas d’ici… Et il est plus con que moi, alors…

— C’est pas avec des insultes et du mépris qu’on fait une campagne démocratique, couillon !

— Mais je savais pas ! Je vais changer… promis ! Té ! J’ai une idée. Je vais dire que Lecerf est un drôle de coco qui se présente à Mazères alors qu’il en a rien à foutre des Mazériens. C’est pas une bonne idée, ça ? J’insulte personne en disant ça. Je dénigre rien. Je vais faire deux clans pour préparer la bataille : d’un côté les Mazériens et de l’autre les citoyens.

— Tu t’enfonces, Loulou… Encore un… pour la soif ?

— Parce que "Seul on n’est rien, ensemble on est tout". 

— Et comme tu es seul… Trinc ! »

Louis Marette, qui se présente démocratiquement pour la première fois aux élections municipales, vient, suite à l’intervention pacifiante de Jean-Louis Bousquet (qui aurait dû être tête de liste), de pondre un chef-d’œuvre de mauvaise foi et de bêtise.

On se doute que ses colistiers viennent de lui passer un savon. Jamais, dans l’Histoire de France, on avait vu un maire non-élu se comporter comme Louis Marette vient de le faire pour démarrer et orienter sa campagne. J’aurais presque envie de dire que Louis Marette n’est pas d’ici, de France… mais d’où ?

D’abord, comme d’habitude, il n’a consulté personne pour agir. Mauvais politicien, et même pas politicien du tout d’ailleurs, ce crétin a pris sur lui d’insulter ses adversaires, de les mépriser publiquement, de se livrer, selon son propre aveu, à des écoutes illicites avec la complicité d’employées municipales, de mentir effrontément sur l’épisode du pigeonnier, etc., etc. Une série de délits et de mauvaises mœurs qui en dit long sur le personnage.

Voilà maintenant que, parce qu’il est incapable de se corriger, mais sous la pression de ses colistiers, il tente de corriger le tir en se livrant à une argumentation qui en dit toujours long sur l’hypocrisie et l’orgueil qui marqueront à jamais l’histoire de notre petite ville.

Cette intervention de Louis Marette, suite donc au retour d’expérience de Jean-Louis Bousquet, finit de détruire le fragile édifice construit en 18 ans par un domestique certes zélé, mais capable de lâcheté, de traitrise, d’ostracisme, en bon théoricien qu’il est d’un gaullisme qui aurait définitivement penché du côté de Pétain.

Au fond, c’est le grand défaut de la liste Mazères ensemble. La tête de liste devrait tomber, maintenant, avant que la campagne ne commence.

Soulignons que le mot « ensemble », nous l’avons déjà indiqué, est emprunté au camp socialiste. Mais Louis Marette, espèce de caporal d’opérette, en change complètement le sens pour revenir à ses pratiques douteuses.

Évidemment, Pascal Lecerf n’oppose pas le mot « renouveau » au mot « ensemble », pas plus qu’il ne lui est venu à l’idée que « mazériens » et « citoyens » sont en état de guerre civile.

Ce que n’a pas compris Louis Marette, c’est que les Mazériens n’ont pas envie du tout de se battre entre eux. Prenons un exemple, monsieur le professeur :

Le Domaine des oiseaux n’est peut-être pas un chef-d’œuvre ni une idée géniale, mais il existe et chacun peut en goûter les avantages. C’est là un fait indiscutable.

Mais, à cause de Louis Marette le Milicien, cette entreprise est entièrement entre les mains des chasseurs. Et pas des meilleurs !

Or, on s’attendrait à ce que les chasseurs en partagent l’intérêt avec tous ceux, presque tout le monde, qui ont quelques compétences pour participer à la gestion et à la vie de cette entreprise publique.

Et c’est bien là tout le sens qu’il faut donner à Louis Marette.

Son sens de la démocratie ressemble de près à ce que Hitler lui-même considérait avec joie.

Mais violer nos principes est un cache-misère. En effet :

— On ne gagne pas des élections dans une démocratie.

— On devient le représentant de la majorité.

— Et le premier devoir de ce représentant, en l’occurrence le maire, est de satisfaire les minorités qui siègent ou pas selon les circonstances.

Or, une fois le mandat dans la poche, Louis Marette non seulement ne consulte pas ceux qui ne sont pas d’accord avec lui (il les insulte et les méprise), mais pour couronner sa bêtise il ne consulte pas non plus ses colistiers et prend l’initiative quand ça lui chante. Et même souvent sous l’emprise de ses drogues.

Les circonstances ont fait, hélas, que cet individu peu fait pour occuper une responsabilité dans une démocratie a régné 18 longues années pendant lesquelles c’est l’âme même de Mazères qui a volé en éclat au profit de quelques investisseurs patentés dont Louis Marette est le domestique.

Par exemple, le centre ville de Mazères est complètement mort. On n’y rencontre même plus nos Vieux. Les commerces disparaissent. Les rues sont désertes. On ne sait pas où aller. Et on a vite fait le tour de ces rues mal entretenues qui ne mènent nulle part.

Or, Mazères a largement les moyens de construire un centre ville attractif et convivial qui conviendrait autant aux Mazériens qu’aux touristes invités à s’arrêter au moins le temps d’en apprendre quelque chose et de goûter à la sympathie naturelle des Mazériens et au savoir-faire de ses artisans.

Mais qu’a fait Louis Marette au lieu d’améliorer notre existence et de nous faciliter la vie pour que nous puissions vivre ensemble ?

Rien.

Et ce qui a été fait a été raté, comme le Domaine des oiseaux.

Et raté pourquoi ?

Parce que Louis Marette exerce le pouvoir de sa seule autorité.

Avec Louis Marette, pas de partage.

Réfléchissons…

Relisons les articles que Louis Marette a publiés dans son blog.

Qu’en retire-t-on, à part les marques les plus cruelles de mépris, une invitation au fascisme, et les preuves de malversations indignes même des insignes qu’il porte au revers de son veston.

Certes, il y a des gens compétents dans chacune de ces listes. Mais le panachage ne fait plus partie de nos pratiques démocratiques. On ne peut même plus exprimer ses sentiments en rayant des noms. L’État en a décidé autrement, poussant les citoyens à s’opposer de la manière la plus contendante, nouvelle pratique qui nuit à nos principes fondamentaux, mais qu’il n’est plus temps de discuter.

Nous n’aurons donc plus la possibilité de rayer le nom de Louis Marette comme nous le faisions naguère pour l’empêcher d’être le plus voté de la liste unique. Il nous faudra donc voter pour la liste de Pascal Lecerf, nous qui éprouvons plus que de la sympathie pour certains membres de la liste Marette. Dommage pour Mazères.

Il n’en reste pas moins que Pascal Lecerf et ses amis ont longuement réfléchi à l’avenir de Mazères, comme en témoigne leur projet dont on peut lire les grandes lignes sur leur blog.

Si certains membres de la liste Marette avait eu l’intelligence de consulter Pascal Lecerf avant de s’engager de nouveau avec Marette, on aurait peut-être eu une grande liste à Mazères. Mais c’était prendre le risque de se faire traiter de « Judas » et d’en payer sans doute chèrement les conséquences.

Or, qu’oppose Louis Marette aux idées de Pascal Lecerf, à part les insultes et les délits auxquels il ne renonce que sous la pression (ah comme on aimerait qu’il s’agisse plutôt de menaces) de quelques-uns de ses colistiers ?

Pour le savoir, lisez la dernière intervention de Louis Marette dans son blog… Le pauvre est passé du trépignement de l’enfant gâté aux raisonnements égarés de l’hypocrite, pour ne pas dire salaud, qui ne l’est que parce qu’il est plus bête que ses pieds.

Rayez Louis Marette.

Quitte à perdre quelques noms auxquels on tient (On s’arrangera après, té !). Mais c’est le prix à payer si on veut que Mazères devienne une ville, pour les Mazériens et leurs amis, et non plus une poubelle à investissements dangereux mêlés aux plus basses idées et aux plus méprisables comportements qui soient.

Patrick Cintas.

 

Mazères – Faire mieux à l’avenir

 

Patrick CINTAS

Patrick CINTAS
©jcc-communication

Enfin un article intéressant sur le blog de Louis Marette.

C’est la réponse que Jean-Louis Bousquet apporte aux critiques de Pascal Lecerf publiées il y a peu sur son propre blog.

Cette fois, le ton est cordial et l’argumentation à la fois authentique et ouverte au débat, puisque débat il y a.

En effet, la critique de Pascal Lecerf porte essentiellement sur le fait que l’éducation des enfants, selon ses convictions respectables, ne peut être confiée à des chasseurs.

On en déduit sans mal que les chasseurs, toujours selon Pascal Lecerf, ne sont pas qualifiés, ni moralement ni techniquement, pour approcher la nature en connaissance de cause.

C’est un sentiment, plus d’ailleurs qu’une opinion, et ceux qui connaissent Pascal Lecerf savent de quoi je veux parler. Personne n’est plus prêt que lui à ne pas faire le saut que les sentiments inspirent à l’esprit pour mettre les pieds, comme le souligne Bousquet, dans la théorie, voire dans une idéologie qui ne fait du bien à personne en simplifiant à l’excès une question existentielle aussi présente en milieu rural.

On sent bien aussi que Jean-Louis Bousquet sait déjà exactement, par expérience, comment on cède du terrain pour ne pas se retrouver seul avec un fusil en bandoulière et des insultes sur le dos. Tous les chasseurs savent cela.

Sauf Louis Marette qui n’a pas compris que la fête électorale est d’abord une occasion de se retrouver pour faire mieux à l’avenir. Un joli titre de liste : Faire mieux à l’avenir.

Il ne s’agit pas d’imposer ses convictions, comme le fait habituellement Louis Marette qui ne réfléchit jamais assez avant de s’exprimer et d’agir, comme nous venons de le vérifier ces derniers jours.

Quels sens aurait donc un combat contre les chasseurs ? Et quel serait le sens d’un non respect des parents qui ont aussi leur idée là-dessus, mais pas exactement la même ?

La parole revient aux parents et non point à Louis Marette.

C’est ce que Louis Marette doit comprendre maintenant. Son comportement n’a surpris personne à Mazères. Et tout le monde sait que, s’il est réélu, il n’aura aucun intérêt à persister dans ses erreurs. Cela peut aller loin, et même très loin…

Bavardons plutôt, semble dire Jean-Louis Bousquet. Et il a raison. La chasse fait partie de nos mœurs, quoiqu’on en pense. C’est de là qu’on doit recommencer pour s’entendre enfin après 18 ans de règne sans partage.

La première qualité d’un maire, c’est le don de rassembler pour faire le mieux possible. Louis Marette n’a pas cette qualité. Pascal Lecerf et Jean-Louis Bousquet, sans doute…

Patrick Cintas.

 

MCM soutient la liste de Louis Marette

 

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La campagne électorale mazérienne, qui avait été initiée par Pascal Lecerf dans la bonne courtoisie et l’argumentation posée, a vite été gâtée par Louis Marette, bien connu pour sa pratique de l’insulte et du dénigrement, façon chien dans sa niche, car ce pèlerin a une conception toute hitlérienne de la démocratie comme cela a déjà été dit dans le site Ariège- News.

Pour ceux qui ignorent encore ce que c’est que la conception hitlérienne de la démocratie, c’est simple : il suffit d’être élu, d’une manière ou d’une autre, et nous savons que Louis Marette ne l’a jamais été, et de profiter de l’occasion pour servir ses amis et nuire à tous ceux qui ne le sont pas. Ça n’a rien à voir avec le favoritisme : c’est du démocratisme hitlérien. Fermons la parenthèse.

Louis Marette n’a pas encore digéré d’avoir confondu chanvre et chanvre. Ses « secrétaires », munies de téléphones, se sont livrées à des actes d’espionnage et lui-même à envoyé une lettre de dénonciation à l’employeur de Pascal Lecerf, acte diffamatoire dont on fera ce qu’on voudra, mais qui témoigne de la lâcheté dont ce triste sire est capable et de l’expérience qu’il en possède sans doute de longue date. Une vieille habitude… n’est-ce pas Madame la présidente… ?

À vomir.

Une honte pour la Nation en fête.

Une erreur de casting pour l’honneur en conserve.

L’exemple même de la crasse morale qui se retranche derrière les protections juridiques et administratives, sans compter les « amis » (qui d’ailleurs se sont mis en vacances…)

Louis Marette ignore tout de la terre et de la morale.

Et voilà qu’une de ses colistières, intellectuelle de haut rang ou petite merde des trottoirs de Mazères (on se demande…), s’est livrée, par l’intermédiaire de son conjoint, à une enquête pour « dénoncer » le « plagiat » qu’une colistière de Pascal Lecerf aurait commis en « copiant-collant » des informations recueillies sur la Toile.

Louis Marette ignore aussi que cela se fait depuis que la Toile est ce qu’elle est, au grand énervement de ceux qui cultivent encore de nos jours la petite graine pétainiste, pour ne pas dire plus. Mais il est vrai que la Cour Européenne de Justice les y autorise…

Cette vieille baderne de Louis Marette, cultivée aux plus mauvaises sources qui soient, accumule les symptômes de connerie profonde avec un art qui relève de la psychiatrie pour les cas désespérés d’ignorance et de méchanceté. On parle aussi de cure de désintoxication, car le patient pourrait être considéré comme… irresponsable vu l’état de son organe.

LES FAITS :

Chantal Teyssier est accusée, par le webmaster fantaisiste et passablement anémié Christian Berbon, Barbon, Biberon… etc. d’avoir plagié le contenu d’Internet pour rédiger un de ses articles portant sur le chanvre et l’économie circulaire.

Christian Berbon a certes consulté Google et remarqué que le petit signe © figure au bas d’au moins un de ces articles.

Mais si Christian Berbon, qui n’a pas lui non plus avalé son chanvre, avait demandé gentiment à Louis Marette de lui faire écouter l’enregistrement illicite et déshonorant fait par des employées municipales pendant la réunion organisée par Pascal Lecerf et ses amis, il aurait entendu Chantal Teyssier préciser qu’elle n’est pas « une spécialiste de la question » et qu’elle est « allée sur Internet pour se renseigner ». Conseil à suivre donc.

Entre nous, Christian Berbon connaît les faits. Il en détourne goujatement et indignement le sens pour servir les intérêts de son Marette et sans doute les siens un peu aussi, profitant lâchement d’une petite erreur du webmaster du blog de Pascal Lecerf.

D’ailleurs pourquoi le « webmaster » Christian Berbon n’incruste-t-il pas cet enregistrement sur le site de Louis Marette ?

Qu’est-ce qu’il serait honnête s’il le faisait ! Mais pour l’instant, et tant qu’il ne l’a pas fait, il est malhonnête. Attendons.

LA SUITE À DONNER :

Louis Marette, cet individu qui installe un système de vidéosurveillance pour retrouver une friteuse qui n’avait pas été volée, ridiculisant ainsi la réputation de tout un village (non, je n’ai pas encore avalé l’article de la Dépêche) ;

— qui fout le feu à un pigeonnier par manque de savoir-faire, occasionnant une dépense substantielle ;

— qui n’a aucun scrupule à pratiquer l’espionnage le plus lâche en utilisant des employées municipaux ;

— qui pratique la délation associée à la diffamation ;

— qui s’adonne contre l’honneur au dénigrement de citoyens mazériens, en l’occurrence les colistiers de Pascal Lecerf ;

— qui confie l’éducation des enfants à des chasseurs sans tenir compte que la chasse est pour d’autres Français une pratique ignominieuse (démocratisme hitlérien) ou en tous cas étrangère à leur principes ;

— qui s’abrite sans honte derrière des paravents juridiques et administratifs pour ne pas rendre compte des libertés qu’il prend avec la morale et le bon sens ;

cet individu qui montre son vrai visage parce qu’enfin la pratique démocratique est de retour à Mazères, remplit son blog d’insultes, de dénigrement, de faux-semblants et de mensonges.

Jusque-là, je veux dire tant qu’il était le maître des lieux et le larbin de leurs aménageurs, Louis Marette se contentait d’être con, en particulier en posant pour des photos qui ne l’arrangeaient pas et en tenant des propos dignes de Tartuffe.

Mais quelques Mazériens ont osé changer la donne en se présentant contre lui et sa clique.

Du coup, il augmente la dose. On ne trouve plus de bouteilles à Mazères, sauf dans les containers prévus pour les vides et les cassées.

Mais qu’est-ce qu’on peut faire pour que ce cave arrête de descendre ?

Vous voulez que je vous dise : il est trop vieux, trop bête et trop négligent pour devenir le maire de l’avenir de Mazères.

Ou alors que Jeanne Dessaint ou Jacques Pujol, vrais Mazériens, prennent la plume pour s’exprimer dans le blog que Louis Marette et les plus crades de sa liste sont en train de transformer en poubelle incompatible avec la fête électorale QUE NOUS MÉRITONS PARCE QUE NOUS SOMMES FRANÇAIS.

Si vous laissez faire ce loustic, c’est de Mazères qu’on va se foutre demain et plus seulement de son système.

Et vous savez quoi ? On ne vous laissera pas faire.

À bon entendeur…

Patrick Cintas.

 

Louis Marette et les théories de l’indésirable et du traître

 

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Louis Marette écrit : « Monsieur Lecerf, finalement vous n’êtes ni juge, ni procureur. Mais par contre, Judas est parmi les vôtres et il se reconnaitra facilement. » Le notaire Saffon, très éloigné selon son aveu de l’éducation de ce XIXe siècle qu’il cite en exemple de ce qu’il ne faut pas faire, va même jusqu’à parler « des aigris voire surtout des jaloux ».

Et Louis Marette de citer Confucius (sans autre référence) : « Quand le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt. » Selon d’autres sources, Confucius aurait simplement demandé à l’idiot de ne pas désigner la Lune, parce qu’elle n’est pas faite pour ça. Mais chacun y retrouvera son… chinois, si tant est que Louis Marette est un bon pédagogue, lui qui n’a jamais enseigné que l’art de changer de trottoir quand il n’y a plus de trottoir.

Si l’objectif de Pascal Lecerf était de faire sortir Louis Marette de ses gonds (ou gongs puisque Louis Marette a des connaissances confuséennes), c’est réussi.

L’idiot de Mazères n’est évidemment pas Pascal Lecerf. Tout le monde sait que c’est Louis Marette. Confucius a d’ailleurs dit à propos d’un de ses disciples (une erreur de jeunesse) : « Il est bête comme ses pieds et méchant comme la teigne. » Et pourtant, Confucius était un bon père. Mais les bons pères, ceux qui laissent de bons souvenirs chez eux, font quelquefois de mauvais fils comme celui-là. Et ils les aiment tellement qu’il leur arrive même de les protéger quand ceux-ci font de grosses bêtises, comme de violer une fille du village, ce qui arriva si ce qu’on raconte est aussi vrai que ce qu’on n’a pas rapporté à la justice, laquelle n’a donc pas eu lieu. « Confucius ne trouvait le repos que dans la pêche à la mouche, » écrit Saint-Exupéry.

Quant à Judas, l’Iscariote je suppose, et non point le Galiléen qui eut pour fils Menahem l’initiateur de la Grande Révolte, nul doute qu’il s’est reconnu dans les propos délateurs de Louis Marette qui signe ici sa conception de la république municipale où il se réserve le rôle du crucifié, s’étant d’ailleurs pourvu d’une vierge en la personne de Jeanne Desaint, décrépite mais volontaire, Joseph étant interprété par Jacques Pujol au meilleur de sa forme rectangulaire et les onze apôtres restant se distribuant des noms d’emprunt selon la fantaisie du maître de céans. Le compte n’y est pas, comme on voit, douze autres personnages étant voué aux tâches moins gratifiantes comme de se bercer d’illusions, si on en croit quelques démissionnaires du mandat finissant.

Ce qui fait 26. Le compte y est. Ouf !

On jugera d’ailleurs de la méthode toute régalienne, et passablement inquisitoriale, toutes proportions gardées, dont Louis Marette fait usage à l’égard d’un citoyen mazérien qui a décidé de changer de camp, pour de bonnes raisons de son point de vue, on n’en doute pas. Les rapports que Louis Marette entretient avec la démocratie relèvent, comme on le voit ici clairement, de pratiques vichystes dont les théories de l’indésirable et du traître ont fait les beaux jours des camps de concentrations de conception française.

Judas, qui nous écrit quelquefois, n’a-t-il pas le droit fondamental, celui qui lui est donné par la Constitution, de ne plus suivre Louis Marette dans ses pérégrinations erratiques pour le moins ? Louis Marette le lui conteste, se comportant comme un fasciste, s’il est permis bien sûr de tempérer ce terme par un usage explicatif plus que démonstratif, précision qui vaudra en justice ce que voudront en faire des juges trop mal formés pour juger de l’Histoire en connaissance de cause.

Mais que Judas soit considéré par Louis Marette comme un traître n’est au fond que de peu d’importance. Tout au plus cela met-il en évidence un trait de caractère plus qu’un défaut délictuel de la pensée chez ce maire qui n’a jamais été démocratiquement élu et qui va l’être, s’il l’est, pour la première fois de sa vie ; il serait temps, ô France !

Ce qui importe, et la colère de Louis Marette autant que le désordre de ses interventions sur son blog en témoignent assez, c’est que Judas (appelons-le comme ça) dit des choses qui, selon le maréchal Marette, constituent des trahisons autrement plus graves que le fait d’avoir changé de camp. Il faut donc comprendre que ces choses, Louis Marette veut les cacher. Et du coup nous comprenons que celles qui ont été dites, sur le blog de Pascal Lecerf, ne sont pas les plus graves, autrement dit que les plus graves mériteraient procès…

À lire les écrits de Louis Marette, on est étonné de constater qu’il se défend alors qu’il est en position de tenant du titre. Étrange attitude de la part d’un personnage qui se présente comme la perfection même, exemple à imposer à la jeunesse mazérienne qui est destinée, redisons-le avec toute l’insistance que cette fatalité réclame, à changer de territoire. Décidément, il y a à Mazères une fatalité de Judas.

Marette va mal. Et cette fois, ce n’est pas parce qu’il a trop bu.

Pris entre deux feux, il sait qu’il va devoir marcher droit.

Jamais ici un responsable politique n’a été autant brocardé que lui. Le portrait plaît à ce point qu’il est impossible de ne pas le rencontrer non seulement sur la Toile, mais aussi dans toutes les conversations tournant sur ce sujet.

Mais cette satire n’ayant pour intention que de ridiculiser le personnage pour en faire l’exemple même du paillasse municipal et du fayot exemplaire, comme quoi on peut être investi de pouvoir par l’État et ressembler à autre chose de beaucoup moins sérieux, l’analyse est laissée à plus informé, que ce soit Judas ou d’autres Mazériens que la mort lente de Mazères commence à inquiéter un tant soit peu, nos enfants n’ayant en tête que le jour où ils pourront enfin quitter ces lieux inhospitaliers.

Ce rôle nouveau est pour l’instant, le temps d’une campagne ou plus longtemps encore si l’occasion n’est pas manquée, dévolu à Pascal Lecerf et à ses amis.

On s’en félicite, au nom de la démocratie, qui est violée à Mazères depuis des décennies par des actions juridiquement irréprochables, sans doute (quoique…) mais moralement peu défendables. Louis Marette, dans sa défense fébrile, ne songe d’ailleurs qu’à évoquer des arguments juridiques et administratifs, laissant de côté les questions morales, celles qui fondent l’honneur ou le remettent en question avec la même rigueur philosophique.

Il faudra conserver les écrits dont Louis Marette émaille sa mauvaise campagne électorale. On aura soin de classer ses défenses en regard des techniques qui ont été employées pour mettre en œuvre ses diverses réalisations, de façon à bien mettre en évidence les qualités morales qui leur ont fait défaut ou qui au contraire les ont accompagnées en tout honneur.

Le bilan financier de Louis Marette est équilibré… dans la dette. Il penche même quelquefois au profit de quelques intérêts particuliers, toutefois sans violer les principes juridiques que la morale réprouve mais qu’elle n’a pas le pouvoir de changer, faille que les plus habiles savent exploiter pour s’enrichir ou pour se faire passer pour des hommes du monde.

Certes, les esprits angéliques n’ont pas droit de cité dans ce monde où ce sont les plus forts, quelle que soit l’origine de leur force, qui modèlent les structures sociales et politiques sans lesquelles nous ne sommes plus rien. Nous avons depuis belle lurette accepté cette fatalité et nous n’en mourons pas, c’est le moins qu’on puisse dire.

Mais qu’au moins ceux qu’on choisit pour régner au-dessus de nos préoccupations quotidiennes ressemblent le moins possible aux plus mauvais exemples que l’Histoire montre du doigt.

Le comportement de Louis Marette est symptomatique de ce qu’il convient d’éviter de placer sur nos trônes.